Ou du moins je me dis que c'est ça qui rends mes yeux tous rouges, coulant. Que ce n'est rien de plus qu'une petite poussière qui fait ruisseler ces larme sur mon visage. Du moins c'est ce que je me dis. Ou alors c'est de la tristesse. Cette poussière n'est peut être que la miette qui me rattache à son coeur de pierre qui s'est détachée. J'aurais préféré que cette poussière, en plongeant dans mes yeux, soit en fait un plus gros caillou, qui aurait pu me cacher cette vérité, ou même mieux, m'assommer, pour me réveiller une fois cette triste période finie. Mais pour l'instant je pleure, ça ne sert à rien. Je pleure sur mon sort, comme souvent (le souvent se rattache à mon sort, pas au fait de pleurer).
On s'est appelé tout à l'heure pour qu'elle me dise ce pourquoi elle m'a envoyé il y a deux jours ce merveilleux message qui disait : "Faudra que je te dise un truc, pas ce soir, mais la semaine prochaine" sans rien dire de plus, sans vouloir que je sache de quoi il s'agit. Du coup elle m'a dit ce soir qu'elle est avec Thomas. Elle arretais pas de dire au téléphone qu'elle était désolée, si elle est désolée, pourquoi le choisir lui, et pas moi. Elle m'a demandé de pas lui demander ce qu'il a de plus que moi. Je voudrais juste savoir pourquoi à lui elle lui a laisser une chance, et pas à moi. Après tout, c'est la vie. Au fond de moi je souffre. Je veux son bonheur, qu'elle soit heureuse grace à l'amour. Mais j'aurais voulu que si ce n'était pas grace à moi, ça le soit grace à quelqu'un qui m'est totalement inconnu. En évitant les amis à moi, surtout. J'ai l'impression de revivre ma 1ère... Amoureux d'une fille, mes copains la rencontre, et c'est un autre que moi qui sort avec elle.
Je suis persuadé que j'aurais plus la rendre heureuse, plus qu'un autre. Mais n'est ce pas ça l'amour?
Du coup, à penser à elle, à lui, à eux. A leur avenir ensemble, je regarde "La boite noir" en flou. Je vais essayer de m'endormir devant ça. Je dis bien essayer, quand on aprend ce genre de nouvelles c'est difficile de dormir. J'aurais préféré qu'elle me dise ça vendredi soir, surement plus que dans la semaine. Etant chez mes grands parents pour le week end, j'aurais bien été obligé de faire semblant d'aller bien, ça m'aurait peut être aidé à passer outre. PLus facilement.
Elle m'a dit de ne pas en parler à Marion, ni à qui que ce soit d'autre, c'est dur. J'aime parler quand je vais mal. Et paradoxalement, après qu'elle me dise de ne rien dire, la première chose que je fais c'est écrire tout ça sur mon blog... cela dit, écrire ça sur un blog totalisant 9 visites en un mois, est ce bien dangereux. Surtout si les 9 visites proviennent de personnes qui nous sont totalement inconnues à tous les deux.
Je ne sais pas comment conclure cet article. Il ressemble aux autres. En fait je n'écris ici que lorsque je vais mal, donc ce ne sont que des articles de déprimes passagères. Pour les articles joyeux, de toute façon ils seront bientôt sur mon "site" à moi.
Je veux juste dire que je l'aime. Trop. Elle m'aime aussi, mais différement. Notre problème, c'est que dès le début on n'attendait pas la même chose. Elle voulait un ami, moi une petite-amie. Tant qu'on n'attendra pas la même chose de l'autre, nous ne ferons que semblant d'être bien. Ce que je fais depuis trop longtemps. Je ne sais pas pourquoi j'essaye toujours de la rassurer en lui disant que ça va, c'est faux, je lui mens, je me mens. Mais je l'aime. Trop.
Paracoelops
megalotis
Dimanche 30 mai 2010 à 22:42
Jeudi 13 mai 2010 à 11:42
L'ascension. Raison de la fériétude du jour d'aujourd'hui. Ascension de Jésus au ciel.
Pour moi c'est surtout une continuité. Une continuité de l'ascension de mes sentiments de tristesse. Sentiments de tristesse en grande partie dus à deux personnes. Moi et Elle. Elle parce qu'elle m'a apprécié, beaucoup. Moi parce que j'ai cru qu'il pourrait y avoir quelque chose de plus que de l'amitié entre nous.
Mon défaut, quand je rencontre une fille,c 'est de vouloir lui montrer que je suis quelqu'un de génial, donc on rigole, on s'amuse, on devient ami... et en devenant ami je lui donne généralement la meilleure excuse pour ne pas que ça aille plus loin. Le fameux couplet du "Je préfère qu'on reste amis", généralement servis à plusieurs sauces...
Mais là j'y ai cru, une fois de plus, une fois de trop. Je me suis attaché, pas elle, du moins pas comme je l'aurais voulu. Je me suis menti. Je ne me suis jamais avoué que je l'aimais, donc je ne lui ai jamais avoué. Elle n'a donc pas changé, pensant que tout ce qu'on pouvait faire se ferait sans ambiguïté. Je m'attachais, tandis qu'elle, elle passait juste de bons moment.
Le résultat je le paye aujourd'hui. Elle sait que je l'aime. Elle s'éloigne. On s'éloigne. Soit disant pour mon bien. Il est trop tôt pour dire si c'est vrai, si plus tard j'aurais l'occasion de la remercier de s'être éloignée. Mais là c'est dur. Dur qu'elle se détache, dur de ne plus l'avoir des heures au téléphone, sur Msn, sur Facebook. Dur d'entendre "Non" quand au téléphone je lui demande si elle veut me voir.
Je vais m'y faire. Quand on a gouté au bonheur, c'est pas évident de devenir malheureux.
Dans Camping, Gérard Lanvin dit à Mathilde Seigner "Le malheur est à la portée de tous". J'ai surtout l'impression qu'il touche souvent les mêmes.
Il parait qu'on ne peut pas tous être heureux en même temps sur terre, j'espère que ceux qui le sont en profitent vraiment.
Je sais que je me lamente sur Elle qui ne veut pas de moi, qui ne veut plus de moi, mais je sais surtout que j'ai que sur ça me plaindre, que le reste va bien, et mon soit disant "malheur" n'est qu'une broutille dans ce monde. Mais ça me fait du bien de l'écrire.
Pour moi c'est surtout une continuité. Une continuité de l'ascension de mes sentiments de tristesse. Sentiments de tristesse en grande partie dus à deux personnes. Moi et Elle. Elle parce qu'elle m'a apprécié, beaucoup. Moi parce que j'ai cru qu'il pourrait y avoir quelque chose de plus que de l'amitié entre nous.
Mon défaut, quand je rencontre une fille,c 'est de vouloir lui montrer que je suis quelqu'un de génial, donc on rigole, on s'amuse, on devient ami... et en devenant ami je lui donne généralement la meilleure excuse pour ne pas que ça aille plus loin. Le fameux couplet du "Je préfère qu'on reste amis", généralement servis à plusieurs sauces...
Mais là j'y ai cru, une fois de plus, une fois de trop. Je me suis attaché, pas elle, du moins pas comme je l'aurais voulu. Je me suis menti. Je ne me suis jamais avoué que je l'aimais, donc je ne lui ai jamais avoué. Elle n'a donc pas changé, pensant que tout ce qu'on pouvait faire se ferait sans ambiguïté. Je m'attachais, tandis qu'elle, elle passait juste de bons moment.
Le résultat je le paye aujourd'hui. Elle sait que je l'aime. Elle s'éloigne. On s'éloigne. Soit disant pour mon bien. Il est trop tôt pour dire si c'est vrai, si plus tard j'aurais l'occasion de la remercier de s'être éloignée. Mais là c'est dur. Dur qu'elle se détache, dur de ne plus l'avoir des heures au téléphone, sur Msn, sur Facebook. Dur d'entendre "Non" quand au téléphone je lui demande si elle veut me voir.
Je vais m'y faire. Quand on a gouté au bonheur, c'est pas évident de devenir malheureux.
Dans Camping, Gérard Lanvin dit à Mathilde Seigner "Le malheur est à la portée de tous". J'ai surtout l'impression qu'il touche souvent les mêmes.
Il parait qu'on ne peut pas tous être heureux en même temps sur terre, j'espère que ceux qui le sont en profitent vraiment.
Je sais que je me lamente sur Elle qui ne veut pas de moi, qui ne veut plus de moi, mais je sais surtout que j'ai que sur ça me plaindre, que le reste va bien, et mon soit disant "malheur" n'est qu'une broutille dans ce monde. Mais ça me fait du bien de l'écrire.
Mardi 4 mai 2010 à 10:21
Quand je serais grand et qu'on me demandera si j'ai eu une vie heureuse, je n'aurais qu'a consulter les dates d' existence de mes différents blogs pour situer les périodes où ça n'allait pas...
Il y a d'ailleurs toujours le même point commun entre ces périodes où je ne vais pas bien. C'est l'amour. Et plus particulièrement la déception amoureuse. Et mes déceptions amoureuses sont généralement identiques... Je suis, et je resterais, pour toutes les filles que j'ai rencontré jusqu' aujourd'hui, un bon copain.
Je ne sais pas si l'objectivité est une qualité qui peut définir mes propos là. Je pense qu'elle se voile la face. Je pense qu'elle m'aime mais qu'elle ne veut pas se l'avouer parce qu'elle se l'est toujours interdit. Je pense que quand on ne ressent que de l'amitié pour quelqu'un, on est pas comme elle est avec moi. Ca m'arrange de penser ça, c'est sur.
Mais ne dit on pas que l'espoir fait vivre...
Là nous avons décidé, pour notre bien, mais surtout pour le miens, et pour sa tranquillité sentimentale de faire une pause. Nous ne somme pas en couple mais nous faisons déjà une pause, belle preuve qu'une future relation serait vouée à l'échec. Nous avons donc décidé, d'un commun accord, mais déplaisant probablement autant aux deux de ne plus se parler, pendant un temps, jusqu'à ce que l'un d'entre nous refasse le premier pas. Notre pause sera probablement dure à vivre dans les premiers jours, puis on va s'habituer, se souvenir qu'on pouvait vivre l'un sans l'autre.
Souffrir pour ne plus souffrir, c'est nous.
Il y a d'ailleurs toujours le même point commun entre ces périodes où je ne vais pas bien. C'est l'amour. Et plus particulièrement la déception amoureuse. Et mes déceptions amoureuses sont généralement identiques... Je suis, et je resterais, pour toutes les filles que j'ai rencontré jusqu' aujourd'hui, un bon copain.
Je ne sais pas si l'objectivité est une qualité qui peut définir mes propos là. Je pense qu'elle se voile la face. Je pense qu'elle m'aime mais qu'elle ne veut pas se l'avouer parce qu'elle se l'est toujours interdit. Je pense que quand on ne ressent que de l'amitié pour quelqu'un, on est pas comme elle est avec moi. Ca m'arrange de penser ça, c'est sur.
Mais ne dit on pas que l'espoir fait vivre...
Là nous avons décidé, pour notre bien, mais surtout pour le miens, et pour sa tranquillité sentimentale de faire une pause. Nous ne somme pas en couple mais nous faisons déjà une pause, belle preuve qu'une future relation serait vouée à l'échec. Nous avons donc décidé, d'un commun accord, mais déplaisant probablement autant aux deux de ne plus se parler, pendant un temps, jusqu'à ce que l'un d'entre nous refasse le premier pas. Notre pause sera probablement dure à vivre dans les premiers jours, puis on va s'habituer, se souvenir qu'on pouvait vivre l'un sans l'autre.
Souffrir pour ne plus souffrir, c'est nous.
Lundi 3 mai 2010 à 7:56
Cette article ne traitera pas de la période historique du même nom, rassurez vous...
Il marque juste la "réouverture" de ce blog... Et encore c'est beaucoup dire pour un blog ayant connu 3 articles en 20 jours d'écart. J'aurais pu en créer un autre, mais non, même pas, je reprend celui ci, après 11 mois d'absence. Et il s'en est passé des choses en un an.
Dans le premier paragraphe de mon premier article je dis que je crée ce blog pour l'abandonner lâchement sous peu... je croyais pas si bien dire. Et pour l'instant, pour ce qui est de me faire rire à la relecture, on repassera...
Dans le deuxième article je parle du temps qui passe vite... (notez le thème vachement original...) et je me rend compte que rien ne change. Qu'il passe même encore plus vite maintenant. Quand on est enfants et que nos parents, les gens de notre entourage, enfin, les vieux quoi, nous disent que plus on grandi plus le temps passe vite, on se dit qu'ils mentent, que c'est faux, et qu'on préfère retourner jouer au Lego plutôt que de les écouter raconter n'importe quoi. Puis on grandi, et c'est finalement le notre de temps qui passe vite. On est le 3 mai. J'ai l'impression d'être tout juste arrivé à Paris, d'avoir commencer à l'école. J'ai l'impression que je viens de rentrer chez Iguane Solutions. Mais ça fait déjà 9 mois. 9 mois. C'est rien dans une vie pourtant, mais quand on se dit qu'ils sont derrière nous, qu'on les a pas vu passer ça parait long. Je parle des neuf derniers mois qui sont passés vite, mais il y a 3 ans je passais le bac, et finalement ces 3 années là non plus j'ai pas l'impression de les avoir vu passer. Je ne les ai pas vu passer, certes, mais je ne dirais pas que j'en ai pas profiter. J'ai pas tout à fait eu la vie que j'imaginais lorsque j'étais enfant, de l'idée que je me faisais de "la vie à 20 ans". Mais je suis jeune, et j'ai encore la vie devant moi.
Là il est 07h54, je vais aller me doucher, pour ensuite aller en cours... A cette heure ci, en principe j'aurais encore dû être à Grenoble. Avec Elle. Mais ce sujet ne sera pas abordé dans ce deuxième premier article, déjà bien long à mon goût.
Je vous souhaite, chers lecteurs (si lecteurs il y a...) une bonne journée.
Il marque juste la "réouverture" de ce blog... Et encore c'est beaucoup dire pour un blog ayant connu 3 articles en 20 jours d'écart. J'aurais pu en créer un autre, mais non, même pas, je reprend celui ci, après 11 mois d'absence. Et il s'en est passé des choses en un an.
Dans le premier paragraphe de mon premier article je dis que je crée ce blog pour l'abandonner lâchement sous peu... je croyais pas si bien dire. Et pour l'instant, pour ce qui est de me faire rire à la relecture, on repassera...
Dans le deuxième article je parle du temps qui passe vite... (notez le thème vachement original...) et je me rend compte que rien ne change. Qu'il passe même encore plus vite maintenant. Quand on est enfants et que nos parents, les gens de notre entourage, enfin, les vieux quoi, nous disent que plus on grandi plus le temps passe vite, on se dit qu'ils mentent, que c'est faux, et qu'on préfère retourner jouer au Lego plutôt que de les écouter raconter n'importe quoi. Puis on grandi, et c'est finalement le notre de temps qui passe vite. On est le 3 mai. J'ai l'impression d'être tout juste arrivé à Paris, d'avoir commencer à l'école. J'ai l'impression que je viens de rentrer chez Iguane Solutions. Mais ça fait déjà 9 mois. 9 mois. C'est rien dans une vie pourtant, mais quand on se dit qu'ils sont derrière nous, qu'on les a pas vu passer ça parait long. Je parle des neuf derniers mois qui sont passés vite, mais il y a 3 ans je passais le bac, et finalement ces 3 années là non plus j'ai pas l'impression de les avoir vu passer. Je ne les ai pas vu passer, certes, mais je ne dirais pas que j'en ai pas profiter. J'ai pas tout à fait eu la vie que j'imaginais lorsque j'étais enfant, de l'idée que je me faisais de "la vie à 20 ans". Mais je suis jeune, et j'ai encore la vie devant moi.
Là il est 07h54, je vais aller me doucher, pour ensuite aller en cours... A cette heure ci, en principe j'aurais encore dû être à Grenoble. Avec Elle. Mais ce sujet ne sera pas abordé dans ce deuxième premier article, déjà bien long à mon goût.
Je vous souhaite, chers lecteurs (si lecteurs il y a...) une bonne journée.
Lundi 3 mai 2010 à 7:34
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Nouveau départ.
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