Paracoelops

megalotis

Lundi 26 juillet 2010 à 19:31

 On verra bien si elle arrive à faire partir ce putain de mal de crâne que je tiens depuis le début de l'après midi...
Je pense ne pas me tromper en pensant que rien ne pourra jamais être comme avant, c'est défaitiste mais je doute que ça serve encore d'y croire, d'espérer. En vain. Ces 5 mois de bonheur, c'est tout ce que j'ai eu. Tout ce que j'aurais. On me dit que vis trop dans le passé. Mais qui ne le ferait pas, avec un passé agréable et un présent merdique... 
Seule une autre rencontre pourra me la faire oublier. Me permettra d'admettre que soit lui. Mais je ne fais rien pour. Je n'irais donc jamais mieux. CQFD. 

De toute façon vous serez bien content quand je serais mort.

Mardi 20 juillet 2010 à 16:02

 

Je me demande juste si j'existe encore pour toi... 

Jeudi 15 juillet 2010 à 18:15

 Si j'ai tant souffert qu'elle se mette avec lui c'est parce que je tenais à elle. Je tenais à elle parce qu'elle m'avait fait tenir à elle. En très grande partie par tout ce qu'on a pu vivre ensemble. Même si c'était rare ces moments ensemble, c'était intense. Et ce pour nous deux. Tous ces très bons moments (j'aurais bien dit merveilleux, mais je trouve que ça fait con comme terme) ont constitué un passé, commun. Des moments dont on se souvient, car on les a construits ensemble. Et donc forcément, compte tenu de ce passé, il arrive que des lieux, chansons, mots, ou que sais-je viennent à nous rappeler ce passer, ils rappellent des choses. Et donc je ne pensais pas qu'en entendant cette chanson au 14 juillet, en filmant ce moment du feu d'artifice et en publiant la vidéo sur Facebook j'allais foutre la merde, entre eux, entre elle et moi, et entre lui et moi. J'ai le mauvais pressentiment que l'amour qu'elle ressent pour lui, ajouté a la possessivité dont il sait faire preuve, ne feront pas bon ménage avec notre amitié, déjà souffrante...

Vendredi 9 juillet 2010 à 19:24

 Je n'intéresse personne.

Vendredi 9 juillet 2010 à 16:56

 ça change de ne plus se parler que 10 minutes tous les 4 jours comparé aux 5 à 7 heures par jour, les sms, les appels...d'il y a quelques semaines...

Mercredi 30 juin 2010 à 21:50

Là. A l'heure actuelle. A CE moment présent j'ai un regret. Si je pouvais remonter le temps, ça serait pour changer ça. J'y ai pensé, je l'ai pas fait.
Ce 2 mai, dans le train, quand elle s'est retournée, quand elle est partie. C'est là, à ce moment là que j'aurais du descendre du train, pas une fois arrivé à Paris.
J'aurais du lui courir après.
La rattraper. La rejoindre chez elle, je ne sais pas.
Mais j'aurais du rester. Rester pour lui dire que je l'aimais, vraiment, énormément.
Que à cet instant là, c'est elle qui faisait mon bonheur.
Peut-être que ça n'aurait servi à rien. Peut-être que ça n'aurait fait que tout empirer.
Mais je regrette maintenant. De pas lui avoir dit que je l'aime, de pas lui avoir montrer que j'étais capable de tout pour elle.
C'est inutile, même débile, de regretter ça après tout ce temps, mais c'est comme ça.


J'ai vraiment le sentiment d'être passé à côté du bonheur.
En attendant la prochaine qui m'y fera croire... et qui sait... celle là, peut être qu'elle me l'apportera...

Mercredi 9 juin 2010 à 19:50

 Rien. De l'amitié. De la très forte amitié. De la très très forte amitié. Presque de l'amour. De la très forte amitié. Puis rien.

Dimanche 6 juin 2010 à 23:10

Je l'aime. Elle l'aime.
Elle l'a choisi. Je lui ai reproché. J'ai été méchant. Je le paye. 
J'ai tout gâché. Ce n'est pas la première fois. J'espère la dernière. 
Je l'ai perdu. C'est peut être définitif, peut être pas. L'avenir nous le dira.
Quand je lui ai dis que je comptais rechangé, redevenir celui qu'elle a connu, celui qu'elle a apprécié, celui dont elle ne pouvait plus se passer, que le connard que je suis depuis quelques jours allait partir, que j'allais prendre sur moi, ne plus rien dire, elle m'a dit qu'il fallait que je garde ma méchanceté pour moi. Que j'avais tout gâché, que c'était fini. Qu'elle était heureuse avec lui et qu'au moins elle aurait eu l'occasion de me connaitre.

On me dit que un jour je vais rencontrer la bonne. 5 ans qu'on me dit ça. Je n'y crois plus trop à force.
Je pense rencontrer la bonne. Et puis ça fini comme ça. A écrire des blogs. Et si encore je pouvais me remettre en question. Mais là si elle est avec lui et pas avec moi c'est parce que ses sentiments ne venaient pas. Je n'y suis pour rien. Ou alors peut être que je ne suis fait que pour être un ami. Pas plus. Pourtant il y en a déjà qui s'y sont risqué. J'ai pas eu l'impression qu'elles passaient de si mauvais moments.
Je voudrais qu'une fille, un jour, se dévoue pour me rendre heureux. Qu'une fille essaye de me découvrir, s'intéresse à moi.
Je ne suis pas plus con qu'un autre. Je ne pense pas non plus être particulièrement moche. Je ne pense pas avoir un style de merde et ressembler à rien. Mais je suis peut être trop classique justement. Celui qu'on ne regarde pas, ni pour l'admirer, ni pour se moquer. 
Je connais les raisons de ma non-rencontre de filles, je suis dans l'informatique. Et que ce soit à l'école, ou au travail, les filles ça court pas les rues. Ensuite je suis timide. Jamais je n'aurais le courage (sauf bourré... mais ça serait pas là que je serais particulièrement à mon avantage) d'aborder une fille dans la rue, dans le métro... pour lui dire qu'elle me plait, que j'aimerais la découvrir, lui offrir un verre. Je n'ai pas (encore) vraiment d'amis à Paris, donc je ne sors pas, et aller tout seul dans un bar, si ça devient régulier, c'est pas avec une cirrhose que je vais draguer. Les soirées à Tours, c'est toujours les mêmes personnes. On est toujours les mêmes. On rigole bien, c'est sur. Mais les nouvelles filles y sont très rares, et quand je peux passer des soirées à Paris, on me prévient trop tard, et j'ai déjà mes billets pour rentrer...
Bref tout ça pour dire que mon célibat, que je ne vis plus, que je subis, j'en connais les causes, je pourrais presque y remédier, mais ne m'en donne pas les moyens. 
Du coup je reste passif, à attendre. A attendre une fille qui ne tombera jamais du ciel.

Mardi 1er juin 2010 à 12:19

Je met ce titre à cet article parce que je n'ai mangé qu'un demi cookie et deux petits-suisses, bu 50 cl d'eau depuis dimanche 14h... soit depuis 46 heures...

Vais-je étonner si je dis que je me sens trompé ??

J'ai l'impression qu'on me cache des choses. Qu'on me ment. Qu'on a menti. Les propos changent, pas les faits. Et quand bien même je disais que j'ai cette impression on me dirait "Non c'est pas vrai" ou "Non t'en fais pas il n'y a rien eu de plus que ce que je t'ai dit" ou "Non mais tu vas arrêter de me faire chier"... ou alors on avouerait... et on me dirait "Mais, c'était pour t'épargner" ou "C'était pour ne pas te faire souffrir" ou "De toute façon je fais jamais bien avec toi" ou "Bon ok aller salut".

Donc voilà, à quoi bon vouloir savoir ce qu'il s'est passé... pourquoi ne pas souffrir en silence. Pourquoi faut que je fasse ça, que j'écrive cet article, que je mette des statuts "déprime" sur Facebook, que j'envoie des sms de reproche, au milieu de sms pitoyable où je lui demande de ne pas me laisser tomber...
Pourquoi suis-je con quand je suis malheureux.

Si je continue je vais la perdre pour de vrai. Mais d'un autre côté, ne serait-ce pas mieux. On ne se connait que depuis 6 mois, on pourrait s'oublier facilement, redécouvrir que la vie l'un sans l'autre n'est pas si mal que ça, surtout pour moi en ce moment. Et en rire chacun de notre côté dans quelque année en se disant "Mais quel con". Et puis de toute façon, elle, elle l'a lui. Donc moi...ai-je encore une utilité dans tout ça.

Ca serait tellement plus facile que je puisse me concentrer 10 minutes, me dire "Aller, sors de ma tête, sucube" et puis l'avoir oublié.


Dimanche 30 mai 2010 à 22:42

Ou du moins je me dis que c'est ça qui rends mes yeux tous rouges, coulant. Que ce n'est rien de plus qu'une petite poussière qui fait ruisseler ces larme sur mon visage. Du moins c'est ce que je me dis. Ou alors c'est de la tristesse. Cette poussière n'est peut être que la miette qui me rattache à son coeur de pierre qui s'est détachée. J'aurais préféré que cette poussière, en plongeant dans mes yeux, soit en fait un plus gros caillou, qui aurait pu me cacher cette vérité, ou même mieux, m'assommer, pour me réveiller une fois cette triste période finie. Mais pour l'instant je pleure, ça ne sert à rien. Je pleure sur mon sort, comme souvent (le souvent se rattache à mon sort, pas au fait de pleurer).
On s'est appelé tout à l'heure pour qu'elle me dise ce pourquoi elle m'a envoyé il y a deux jours ce merveilleux message qui disait : "Faudra que je te dise un truc, pas ce soir, mais la semaine prochaine" sans rien dire de plus, sans vouloir que je sache de quoi il s'agit. Du coup elle m'a dit ce soir qu'elle est avec Thomas. Elle arretais pas de dire au téléphone qu'elle était désolée, si elle est désolée, pourquoi le choisir lui, et pas moi. Elle m'a demandé de pas lui demander ce qu'il a de plus que moi. Je voudrais juste savoir pourquoi à lui elle lui a laisser une chance, et pas à moi. Après tout, c'est la vie. Au fond de moi je souffre. Je veux son bonheur, qu'elle soit heureuse grace à l'amour. Mais j'aurais voulu que si ce n'était pas grace à moi, ça le soit grace à quelqu'un qui m'est totalement inconnu. En évitant les amis à moi, surtout. J'ai l'impression de revivre ma 1ère... Amoureux d'une fille, mes copains la rencontre, et c'est un autre que moi qui sort avec elle.
Je suis persuadé que j'aurais plus la rendre heureuse, plus qu'un autre. Mais n'est ce pas ça l'amour?
Du coup, à penser à elle, à lui, à eux. A leur avenir ensemble, je regarde "La boite noir" en flou. Je vais essayer de m'endormir devant ça. Je dis bien essayer, quand on aprend ce genre de nouvelles c'est difficile de dormir. J'aurais préféré qu'elle me dise ça vendredi soir, surement plus que dans la semaine. Etant chez mes grands parents pour le week end, j'aurais bien été obligé de faire semblant d'aller bien, ça m'aurait peut être aidé à passer outre. PLus facilement.
Elle m'a dit de ne pas en parler à Marion, ni à qui que ce soit d'autre, c'est dur. J'aime parler quand je vais mal. Et paradoxalement, après qu'elle me dise de ne rien dire, la première chose que je fais c'est écrire tout ça sur mon blog... cela dit, écrire ça sur un blog totalisant 9 visites en un mois, est ce bien dangereux. Surtout si les 9 visites proviennent de personnes qui nous sont totalement inconnues à tous les deux.
Je ne sais pas comment conclure cet article. Il ressemble aux autres. En fait je n'écris ici que lorsque je vais mal, donc ce ne sont que des articles de déprimes passagères. Pour les articles joyeux, de toute façon ils seront bientôt sur mon "site" à moi.
Je veux juste dire que je l'aime. Trop. Elle m'aime aussi, mais différement. Notre problème, c'est que dès le début on n'attendait pas la même chose. Elle voulait un ami, moi une petite-amie. Tant qu'on n'attendra pas la même chose de l'autre, nous ne ferons que semblant d'être bien. Ce que je fais depuis trop longtemps. Je ne sais pas pourquoi j'essaye toujours de la rassurer en lui disant que ça va, c'est faux, je lui mens, je me mens. Mais je l'aime. Trop.

Jeudi 13 mai 2010 à 11:42

 L'ascension. Raison de la fériétude du jour d'aujourd'hui. Ascension de Jésus au ciel. 
Pour moi c'est surtout une continuité. Une continuité de l'ascension de mes sentiments de tristesse. Sentiments de tristesse en grande partie dus à deux personnes. Moi et Elle. Elle parce qu'elle m'a apprécié, beaucoup. Moi parce que j'ai cru qu'il pourrait y avoir quelque chose de plus que de l'amitié entre nous. 
Mon défaut, quand je rencontre une fille,c 'est de vouloir lui montrer que je suis quelqu'un de génial, donc on rigole, on s'amuse, on devient ami... et en devenant ami je lui donne généralement la meilleure excuse pour ne pas que ça aille plus loin. Le fameux couplet du "Je préfère qu'on reste amis", généralement servis à plusieurs sauces...
Mais là j'y ai cru, une fois de plus, une fois de trop. Je me suis attaché, pas elle, du moins pas comme je l'aurais voulu. Je me suis menti. Je ne me suis jamais avoué que je l'aimais, donc je ne lui ai jamais avoué. Elle n'a donc pas changé, pensant que tout ce qu'on pouvait faire se ferait sans ambiguïté. Je m'attachais, tandis qu'elle, elle passait juste de bons moment. 
Le résultat je le paye aujourd'hui. Elle sait que je l'aime. Elle s'éloigne. On s'éloigne. Soit disant pour mon bien. Il est trop tôt pour dire si c'est vrai, si plus tard j'aurais l'occasion de la remercier de s'être éloignée. Mais là c'est dur. Dur qu'elle se détache, dur de ne plus l'avoir des heures au téléphone, sur Msn, sur Facebook. Dur d'entendre "Non" quand au téléphone je lui demande si elle veut me voir.
Je vais m'y faire. Quand on a gouté au bonheur, c'est pas évident de devenir malheureux.
Dans Camping, Gérard Lanvin dit à Mathilde Seigner "Le malheur est à la portée de tous". J'ai surtout l'impression qu'il touche souvent les mêmes.
Il parait qu'on ne peut pas tous être heureux en même temps sur terre, j'espère que ceux qui le sont en profitent vraiment.



Je sais que je me lamente sur Elle qui ne veut pas de moi, qui ne veut plus de moi, mais je sais surtout que j'ai que sur ça me plaindre, que le reste va bien, et mon soit disant "malheur" n'est qu'une broutille dans ce monde. Mais ça me fait du bien de l'écrire.

Mardi 4 mai 2010 à 10:21

Quand je serais grand et qu'on me demandera si j'ai eu une vie heureuse, je n'aurais qu'a consulter les dates d' existence de mes différents blogs pour situer les périodes où ça n'allait pas...

Il y a d'ailleurs toujours le même point commun entre ces périodes où je ne vais pas bien. C'est l'amour. Et plus particulièrement la déception amoureuse. Et mes déceptions amoureuses sont généralement identiques... Je suis, et je resterais, pour toutes les filles que j'ai rencontré jusqu' aujourd'hui, un bon copain. 

Je ne sais pas si l'objectivité est une qualité qui peut définir mes propos là. Je pense qu'elle se voile la face. Je pense qu'elle m'aime mais qu'elle ne veut pas se l'avouer parce qu'elle se l'est toujours interdit. Je pense que quand on ne ressent que de l'amitié pour quelqu'un, on est pas comme elle est avec moi. Ca m'arrange de penser ça, c'est sur.

Mais ne dit on pas que l'espoir fait vivre...

Là nous avons décidé, pour notre bien, mais surtout pour le miens, et pour sa tranquillité sentimentale de faire une pause. Nous ne somme pas en couple mais nous faisons déjà une pause, belle preuve qu'une future relation serait vouée à l'échec. Nous avons donc décidé, d'un commun accord, mais déplaisant probablement autant aux deux de ne plus se parler, pendant un temps, jusqu'à ce que l'un d'entre nous refasse le premier pas. Notre pause sera probablement dure à vivre dans les premiers jours, puis on va s'habituer, se souvenir qu'on pouvait vivre l'un sans l'autre.

Souffrir pour ne plus souffrir, c'est nous.

Lundi 3 mai 2010 à 7:56

 Cette article ne traitera pas de la période historique du même nom, rassurez vous...

Il marque juste la "réouverture" de ce blog... Et encore c'est beaucoup dire pour un blog ayant connu 3 articles en 20 jours d'écart. J'aurais pu en créer un autre, mais non, même pas, je reprend celui ci, après 11 mois d'absence. Et il s'en est passé des choses en un an.

Dans le premier paragraphe de mon premier article je dis que je crée ce blog pour l'abandonner lâchement sous peu... je croyais pas si bien dire. Et pour l'instant, pour ce qui est de me faire rire à la relecture, on repassera...

Dans le deuxième article je parle du temps qui passe vite... (notez le thème vachement original...) et je me rend compte que rien ne change. Qu'il passe même encore plus vite maintenant. Quand on est enfants et que nos parents, les gens de notre entourage, enfin, les vieux quoi, nous disent que plus on grandi plus le temps passe vite, on se dit qu'ils mentent, que c'est faux, et qu'on préfère retourner jouer au Lego plutôt que de les écouter raconter n'importe quoi. Puis on grandi, et c'est finalement le notre de temps qui passe vite. On est le 3 mai. J'ai l'impression d'être tout juste arrivé à Paris, d'avoir commencer à l'école. J'ai l'impression que je viens de rentrer chez Iguane Solutions. Mais ça fait déjà 9 mois. 9 mois. C'est rien dans une vie pourtant, mais quand on se dit qu'ils sont derrière nous, qu'on les a pas vu passer ça parait long. Je parle des neuf derniers mois qui sont passés vite, mais il  y a 3 ans je passais le bac, et finalement ces 3 années là non plus j'ai pas l'impression de les avoir vu passer. Je ne les ai pas vu passer, certes, mais je ne dirais pas que j'en ai pas profiter. J'ai pas tout à fait eu la vie que j'imaginais lorsque j'étais enfant, de l'idée que je me faisais de "la vie à 20 ans". Mais je suis jeune, et j'ai encore la vie devant moi.

Là il est 07h54, je vais aller me doucher, pour ensuite aller en cours... A cette heure ci, en principe j'aurais encore dû être à Grenoble. Avec Elle. Mais ce sujet ne sera pas abordé dans ce deuxième premier article, déjà bien long à mon goût.

Je vous souhaite, chers lecteurs (si lecteurs il y a...) une bonne journée.

Lundi 3 mai 2010 à 7:34


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Nouveau départ.
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Jeudi 4 juin 2009 à 18:24

Ce matin j'ai eu un rendez-vous dans une station Total, sur l'autoroute A10 (celle de St Maure, après la barrière de péage de Sorigny, direction Bordeaux) pour un emploi saisonnier. J'ai été pris. (Au passage, merci au père de Guillaume pour son piston...) Je vais donc travailler du 02 juillet 10h au 30 aout 14h à la petite guérite servant au paiement de l'essence, sur la sus-nommée station service d'autoroute. J'ai toujours aimé les voitures donc cette occasion de m'en rapprocher un peu plus, par le biais de ce travail de pseudo pompiste est un vrai régal pour moi. C'est un vrai régal aussi, (et surtout) parce que ça va me permettre de m'acheter un ordinateur portable, un home cinéma et une PS3 histoire que mon 82 se sente moins nu, et pour pouvoir aborder ma vie solitaire sur Paris dans de bonne condition...

En vous remerciant!

http://paracoelops.cowblog.fr/images/DayStation44717.jpg

Mercredi 3 juin 2009 à 16:31

Il y a deux ans, monsieur Lautru (mon professeur principal de l'époque, terminale STG) me donna une feuille sur laquelle était écrit que j'étais accepté en BTS d'informatique de Gestion, dans le lycée que je voulais...Ce jour là, j'ai l'impression que c'était hier, et à l'époque je me disais des trucs du genre "Quand j'aurais fini ce BTS je serais vieux, plus rien ne sera comme maintenant, j'aurais arreté d'être un enfant...et patati et patata".
Je viens de rentrer du lycée, où j'y ai passé la dernière épreuve orale de ce fameux BTS... Et pourtant j'ai l'impression que rien n'a changé, tant mieux.

Maintenant je sais que dans 3 ans j'aurais finis mon école d'ingénieur (du moins je l'éspère) et je m'imagine que tout seras différent... On en reparlera dans 3 ans hein...

Le temps passe vite, trop vite, on se rend compte de rien...

Jeudi 14 mai 2009 à 21:11

Bonjour à tous, et à moi même.

Je vient de me créer un nouveau blog, je vais de suite vous raconter pourquoi.
Il se trouve que fut un temps (il y a environ un an) j'étais un habitué de cowblog, j'y avais mon blog : error404. Il se trouve que pour je ne sais quelle raison je l'ai relu tout à l'heure et je me suis fait sourire à voir ce que j'avais écrit. J'ai donc décidé de créer un nouveau blog pour pouvoir y écrire tout un tas de choses stupides et sans intérêt, l'abandonner lâchement dans quelques temps, puis le redécouvrir dans des années pour me faire rire... et ainsi de suite.

Pour ce qui est du nom du blog, je n'avais aucune idée, je suis donc allé à cette URL : http://fr.wikipedia.org/wiki/Special:Page_au_hasard
(ça donne une page au hasard de Wikipédia) et ça m'a affiché la page, incomplète, du Paracoelops Megalotis, qui est un petit animal, de la famille des Rhinolophidés hipposidérinés (animaux de l'ordre des Chiroptères Microchiroptère pour celles et ceux qui ne le savait pas). Cet animal est aussi appelé la Pipistrelle du Vietnam. Anecdote amusante, il ne mesure que 4.5 cm, avec des oreilles de 3 cm, pour un poids total de 7 grammes. Je pense en avoir assez dit sur ce charmant animal, trouvable dans toutes les bonnes animaleries je pense.

Bon, en voilà des choses de dites pour un premier article !

Je vous souhaite à tous une très bonne soirée !

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