Paracoelops

megalotis

Mercredi 30 juin 2010 à 21:50

Là. A l'heure actuelle. A CE moment présent j'ai un regret. Si je pouvais remonter le temps, ça serait pour changer ça. J'y ai pensé, je l'ai pas fait.
Ce 2 mai, dans le train, quand elle s'est retournée, quand elle est partie. C'est là, à ce moment là que j'aurais du descendre du train, pas une fois arrivé à Paris.
J'aurais du lui courir après.
La rattraper. La rejoindre chez elle, je ne sais pas.
Mais j'aurais du rester. Rester pour lui dire que je l'aimais, vraiment, énormément.
Que à cet instant là, c'est elle qui faisait mon bonheur.
Peut-être que ça n'aurait servi à rien. Peut-être que ça n'aurait fait que tout empirer.
Mais je regrette maintenant. De pas lui avoir dit que je l'aime, de pas lui avoir montrer que j'étais capable de tout pour elle.
C'est inutile, même débile, de regretter ça après tout ce temps, mais c'est comme ça.


J'ai vraiment le sentiment d'être passé à côté du bonheur.
En attendant la prochaine qui m'y fera croire... et qui sait... celle là, peut être qu'elle me l'apportera...

Mercredi 9 juin 2010 à 19:50

 Rien. De l'amitié. De la très forte amitié. De la très très forte amitié. Presque de l'amour. De la très forte amitié. Puis rien.

Dimanche 6 juin 2010 à 23:10

Je l'aime. Elle l'aime.
Elle l'a choisi. Je lui ai reproché. J'ai été méchant. Je le paye. 
J'ai tout gâché. Ce n'est pas la première fois. J'espère la dernière. 
Je l'ai perdu. C'est peut être définitif, peut être pas. L'avenir nous le dira.
Quand je lui ai dis que je comptais rechangé, redevenir celui qu'elle a connu, celui qu'elle a apprécié, celui dont elle ne pouvait plus se passer, que le connard que je suis depuis quelques jours allait partir, que j'allais prendre sur moi, ne plus rien dire, elle m'a dit qu'il fallait que je garde ma méchanceté pour moi. Que j'avais tout gâché, que c'était fini. Qu'elle était heureuse avec lui et qu'au moins elle aurait eu l'occasion de me connaitre.

On me dit que un jour je vais rencontrer la bonne. 5 ans qu'on me dit ça. Je n'y crois plus trop à force.
Je pense rencontrer la bonne. Et puis ça fini comme ça. A écrire des blogs. Et si encore je pouvais me remettre en question. Mais là si elle est avec lui et pas avec moi c'est parce que ses sentiments ne venaient pas. Je n'y suis pour rien. Ou alors peut être que je ne suis fait que pour être un ami. Pas plus. Pourtant il y en a déjà qui s'y sont risqué. J'ai pas eu l'impression qu'elles passaient de si mauvais moments.
Je voudrais qu'une fille, un jour, se dévoue pour me rendre heureux. Qu'une fille essaye de me découvrir, s'intéresse à moi.
Je ne suis pas plus con qu'un autre. Je ne pense pas non plus être particulièrement moche. Je ne pense pas avoir un style de merde et ressembler à rien. Mais je suis peut être trop classique justement. Celui qu'on ne regarde pas, ni pour l'admirer, ni pour se moquer. 
Je connais les raisons de ma non-rencontre de filles, je suis dans l'informatique. Et que ce soit à l'école, ou au travail, les filles ça court pas les rues. Ensuite je suis timide. Jamais je n'aurais le courage (sauf bourré... mais ça serait pas là que je serais particulièrement à mon avantage) d'aborder une fille dans la rue, dans le métro... pour lui dire qu'elle me plait, que j'aimerais la découvrir, lui offrir un verre. Je n'ai pas (encore) vraiment d'amis à Paris, donc je ne sors pas, et aller tout seul dans un bar, si ça devient régulier, c'est pas avec une cirrhose que je vais draguer. Les soirées à Tours, c'est toujours les mêmes personnes. On est toujours les mêmes. On rigole bien, c'est sur. Mais les nouvelles filles y sont très rares, et quand je peux passer des soirées à Paris, on me prévient trop tard, et j'ai déjà mes billets pour rentrer...
Bref tout ça pour dire que mon célibat, que je ne vis plus, que je subis, j'en connais les causes, je pourrais presque y remédier, mais ne m'en donne pas les moyens. 
Du coup je reste passif, à attendre. A attendre une fille qui ne tombera jamais du ciel.

Mardi 1er juin 2010 à 12:19

Je met ce titre à cet article parce que je n'ai mangé qu'un demi cookie et deux petits-suisses, bu 50 cl d'eau depuis dimanche 14h... soit depuis 46 heures...

Vais-je étonner si je dis que je me sens trompé ??

J'ai l'impression qu'on me cache des choses. Qu'on me ment. Qu'on a menti. Les propos changent, pas les faits. Et quand bien même je disais que j'ai cette impression on me dirait "Non c'est pas vrai" ou "Non t'en fais pas il n'y a rien eu de plus que ce que je t'ai dit" ou "Non mais tu vas arrêter de me faire chier"... ou alors on avouerait... et on me dirait "Mais, c'était pour t'épargner" ou "C'était pour ne pas te faire souffrir" ou "De toute façon je fais jamais bien avec toi" ou "Bon ok aller salut".

Donc voilà, à quoi bon vouloir savoir ce qu'il s'est passé... pourquoi ne pas souffrir en silence. Pourquoi faut que je fasse ça, que j'écrive cet article, que je mette des statuts "déprime" sur Facebook, que j'envoie des sms de reproche, au milieu de sms pitoyable où je lui demande de ne pas me laisser tomber...
Pourquoi suis-je con quand je suis malheureux.

Si je continue je vais la perdre pour de vrai. Mais d'un autre côté, ne serait-ce pas mieux. On ne se connait que depuis 6 mois, on pourrait s'oublier facilement, redécouvrir que la vie l'un sans l'autre n'est pas si mal que ça, surtout pour moi en ce moment. Et en rire chacun de notre côté dans quelque année en se disant "Mais quel con". Et puis de toute façon, elle, elle l'a lui. Donc moi...ai-je encore une utilité dans tout ça.

Ca serait tellement plus facile que je puisse me concentrer 10 minutes, me dire "Aller, sors de ma tête, sucube" et puis l'avoir oublié.


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